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Samedi 7 avril 6 07 /04 /Avr 18:14

Méline, le yaoi féminin, ça s'appelle "Yuri"... Mais je tiens à dire que je ne ferai pas du Yuri. C'est pas que ça me plais pas, mais j'aime tellement mieux le yaoi (qui est devenu une vraie passion au fil du temps!).
Mais tu sais surement trouver de belles histoire Yuri en fouillant un peu sur Google, ça ne doit pas être compliqué du tout à trouver! ;) Désolée si ça ne vous enchante pas, mais les histoies Yuri ne m'inspirent absolument pas! :)

 

Simon attendit quelques minutes avant de l'aider à se relever. Il le diriga pour aller signer quelques papiers, ensuite, le prendre dans ses bras et repartir, Hugo ne parlant plus depuis. Une fois sur la route, Simon avait posé sa main sur la cuisse de Hugo, qui regardait le paysage défiler, pensif. Mais il prit la parole soudainement, très calme:

- Ca fait trois ans maintenant qu'elle était malade. Six mois après la mort de mon frère, mon père était enfermé, devenu fou face au chagrin. Et deux mois plus tard, ma mère commençait déjà quelques symptômes. Pendant quatre mois entiers, elle est parvenue à me le cacher! Ses vômissement et ses nausées m'ont donné la puce à l'oreille finalement, elle qui n'avait jamais un rhume! Cancer du pancréas... Mais décelé trop tard pour que l'on puisse y faire quoi que ce soit, des métastases s'étaient déjà formés. Tout à commencé en fait il y a quatre ans! Depuis ce 21 décembre, ma vie est devenue...

Il sembla tout à coup sortir de ses pensées:

- Excuse-moi! Je débloque...

- Ne crois pas ça! Je suis content que tu en parle. Je veux connaitre ce que tu as vécu de bon autant que les pires de tes souvenirs.

Hugo reprit alors le sujet de sa mère en le regardant, Simon faisant attention à la route, mais l'écoutant attentivement:

- Tu sais quoi? Dans un sens, je suis soulagé que ça en soit fini pour elle. C'était une femme trop bien pour mériter de souffrir ainsi. Elle est mieux là où elle est!

Il serra soudainement la main de Simon, semblant avoir des difficultés à le dire, malgré que ça soit la vérité:

- Tu crois qu'elle est avec Arno?

- J'en suis sure..

Hugo se pencha alors pour déposer un baiser sur la joue de Simon..:

- Vivement qu'on soit chez moi, j'ai vraiment besoin de te serrer contre moi!

- Tu veux dire que je reste chez toi?

- Ca semblait logique quand t'es venu dormir hier, non?

Simon afficha un léger sourire. Finalement, il avait quand même eut ce qu'il voulait la veille: Hugo rien pour lui tout le week-end. Même s'il était mal, mais  le consoler faisait bien à Simon. Il se sentait important aujourd'hui...
Ils arrivèrent finalement, Hugo ferma la porte pour se jeter dans les bras de Simon, ne prenant même pas la peine d'enlever sa veste:

- Hugo.. C'est pas pour t'emmerder mais... tu me serres vachement fort! T'es sure que tu veux encore que je respire?

- Ho, excuse-moi, c'est que..j'ai l'impression de ne pas avoir beaucoup de force à coté de toi et..

- Hey, on s'en fout! C'est pas grave.

Simon s'approcha alors de la bouche de Hugo pour déposer un léger baiser sur ses lèvres, passer sur sa joue et dans son cou. Celui-ci posait sa tête contre son épaule, sentant paisiblement le parfum de Simon et apprécier les baisers dans son cou:

- Simon...

- Mmh? demanda-t-il tout en l'embrassant

- J'ai envie de toi!

SImon se redressa pour lui faire face avec de grands yeux...:

- Maintenant? Mais..

- Je sais! Mais j'ai quand même envie de toi... Tu n'es pas moins attirant pour autant.

- Mais...

Simon n'en revenait pas. Il n'y avait même pas deux heures, Hugo était évanoui sous le choc.. Et maintenant, il voulait faire l'amour! Mais Hugo essaya de le faire craquer en le poussant légèrement contre le mur, passant ses mains dans son t-shirt et l'embrassant dans le cou...:

- J'ai besoin de te sentir en moi Simon! J'en ai vraiment besoin.

Celui-ci prit la tête de Hugo alors, pour poser son front contre le sien et le regarder, déjà exité mais prêt à s'arreter s'il le devait:

- Tu es sure? Parceque une fois commencé, ça sera dure si je dois m'arreter, alors autant que tu me le dises tout de suite.

Hugo donna la réponse qu'il voulait en l'embrassant passionément. Simon ne sachant plus se contenir, commençant à déboutonner le jean de Hugo, pour ensuite attaquer le sien. Il le souleva alors légèrement, ayant assez de force pour le porter et l'emmener sur dans la chambre tout en continuant à l'embrasser tendrement. Une fois couchés, Hugo se redressa pour enlever son t-shirt et aider à enlever celui de Simon, pour l'attirer contre lui et le passer son visage contre sa poitrine. Le choc de la mort de sa mère devait sans doute lui donner envie de faire l'amour avec beaucoup de douceur, beaucoup d'amour...
Leurs corps étaient chauds comme la braise, leurs regards envieux, leur mains désireuses et leurs langues affamées. Etrangement, toute forme de haine envers l'autre avait disparue, c'était difficile à avouer, mais peut-être que finalement, ce décès allait les aider à se rapprocher, au plus grand bonheur de Simon.
Celui-ci ne voulait pas brusquer Hugo et y allait en douceur, mais Hugo le fit rouler sur le dos, trop exité pour que cela soit doux. Il se mit alors à califourchon sur Simon pour passer sa langue sur ses mamelons:

- Je vais te montrer comment il faut faire pour ne pas que je hurle comme la dernière fois!

Il prit alors un doigt de Simon pour commencer à le lècher et le sucer, avec les yeux provoquants mais ne le lachant pas du regard.
Simon ayant à présent compris, se releva pour recoucher Hugo, lui enfoncer un doigt et faire des vas et viens en le regardant prendre du plaisir. Tout en faisant ça, il commença à lui lècher le bas ventre pour ensuite enfoncer un deuxième doigts sous les conseils de Hugo, gémissant. Une fois assez humidifié, Hugo tira par les épaules Simon vers lui, et le regarder dans les yeux:

- Vas-y doucement cette fois!

Il déposa alors un baiser sur ses lèvres, pour qu'ensuite Simon le soulève légèrement et le pénètre lentement. Il avait, à présent, bien compris le système et s'y était très bien pris. Il commença alors des coups de reins déjà profonds, regardant Hugo intensément, qui fronça les sourcils légèrement pendant quelques temps sous la douleur, malgré qu'elle soit moins pénible que la dernière fois. Simon passa alors sa bouche sur le cou de Hugo en l'embrassant avec sa langue, le souffle de son partenaire sur son épaule l'exitant davantage.
Quelques minutes passèrent ainsi, quand Hugo commença à gémir bruyemment sous les coups que lui donnait Simon, tellement profonds et brusques. Ils avaient l'impression de ne plus faire qu'un, collant leurs corps transpirants l'un contre l'autre en se caressant et s'embrassant passionément. Ils terminèrent de faire l'amour finalement, Simon ayant plaqué son front contre celui de Hugo, ne se lachant plus du regard, leur forte respiration s'entremelant jusqu'à ce que Simon se déverse en Hugo dans un gémissement en fermant les yeux de plaisir. Il se retira alors doucement de Hugo, mais ne le lachait pas du regard. Hugo semblait tellement aussi triste qu'heureux, que Simon ne savait pas trop ce qu'il devait faire.
Mais en voyant que Hugo avait à nouveau les larmes aux yeux, Simon déposa alors de légers baisers sur ses yeux et le reste de son visage:

- C'était très bien Simon! Je suis désolé, c'est que..

- Ne t'excuse pas, tu n'as pas à le faire.

- J'aimerai tellement me réveiller et que je remarque que ce n'est qu'un mauvas rêve mais non... C'est.. bien la réalité! Je ne peux même pas compter sur mon père, je lui en veux tellement aussi.

- Je ne pense pas que ta colère t'aidera en quoi que ce soit... Il faut que tu te débarasses de cette rage parceque ça n'apportera jamais rien de bon dans ta vie.

Simon se coucha alors à coté de lui, en le regardant laisser ses larmes couler sur son visage, les yeux fermés. il tendit son bras vers lui pour lui caresser les cheveux et lui embrasser son épaule.
Il le regardait tristement, continuant à se poser des questions sur cette famille, si bizarrement détruite. Mais le début de ces malheurs restaient encore très secrets: Son frère... Que s'était-il passé pour qu'il se fasse tuer? Comment est-ce que Hugo a fait pour s'en sortir? Ca devait être tellement pénible qu'il a du certainement avoir une aide extérieur... Perdre un frère était déjà horrible, mais perdre son frère jumeau devait l'être encore plus! Hugo s'endormit quelques dizaines de minutes plus tard, épuisé de cette éprouvante journée moralement aussi bien que physiquement. Simon se releva doucement pour couvrir Hugo et aller chercher la salle de bain pour se laver. Une fois terminé, il alla voir s'il était toujours endormi. Il le vit sur le ventre, ne semblant pas faire un rêve très agréable, ses sourcils froncés et ses yeux bougeant beaucoup derrière ses paupières. Il semblait tellement torturé, même en dormant, que Simon approcha sa main pour lui caresser les cheveux. Ce geste sembla calmer son rêve, se détendant alors pour soupirer légèrement et reprendre son visage si doux.
Simon descendit alors pour aller visiter un peu mieux sa maison tout en allant préparer quelque chose à manger.
Après avoir mis de l'eau à chauffer pour faire des pâtes, il se dirigea vers le salon.. Il tomba quelques minutes après sur des albums photos posés sur la table basse, déjà ouverts. Il avait l'impression en les voyant que Hugo les regardait à chaque fois qu'il revenait le week-end chez lui, et qu'il n'avait plus pris la peine de les ranger. Simon s'assit donc dans le fauteuil et commença à les regarder. C'était des photos magnifiques. La famille de Hugo était très souriante, paraissant très heureuse avant. Avant...
Une fois le repas prêt, il mit tout de coté pour attendre le réveil de Hugo et recommencer à feuilleter les pages. Photos de la naissance, de chaque anniversaire des jumeaux, et les photos de leur 18ième anniversaire s'acheva là. Ce furent les dernières pages, comme si cette famille avait arreté de vivre par la suite... Il vit alors un petit tas de photos, semblant être des photos de Hugo avec ses amis après la mort de son frère. Son sourire paraissait être partit avec Arno, son regard souffrant de la solitude. Il était très expressif comme garçon, mais les photos étaient encore pires quand il était plus jeune. Les dates derrière les photos montraient qu'elles dataient, la plupart, d'un an après sa mort... hugo avait les traits assez tirés, ses yeux tristes et son sourire disparu. Simon était stupéfait de voir ça, il aurait pu deviner que son frère était mort rien qu'avec les photos. Il entendit alors Hugo descendre les escaliers, le sortant à nouveau de ses pensées en entendant sa voix:

- Tu aimes bien regarder les photos toi hein?

Simon se releva brusquement, prenant peur comme s'il croyait que Hugo n'allait pas apprécier qu'il les regarde. Celui-ci avança près de Simon, jetant un rapide coup d'oeil à l'étape de sa vie:

- Tu regardes les pires photos qu'il y a, les autres sont mieux!

- Je les ais déjà regardés.

- Elles sont belles tu trouves pas?

- Elles sont magnifiques oui. Même s'il y en a une qui m'intrigue.

- Ah bon, et laquelle?

Simon se rassit alors, pour prendre un des albums, l'ouvrir et chercher après la page. Hugo s'assit à coté de lui, mettant sa tête contre son épaule:

- Celle-ci!

C'était une photo des deux frères, âgés de leur 18 ans, la date: 28/11/2003. Ils se lançaient un regard presque haineux, la photo étant tout de même très belle... Il s'était à mon avis passé quelque chose de grave vu que c'était la seule photo où ils ne souraient pas et qu'ils n'étaient pas enlacés. Hugo la regarda, semblant s'en rappeler très bien mais préféra mentir:

- Je ne sais plus! Ca date d'il y a longtemps tout ça et..

- Hugo! dit Simon, le coupant au milieu de sa phrase et le regardant en levant légèrement un sourcil.

- Quoi? demanda alors Hugo, agacé.

- Tu me mens, je le vois bien.

- Et si je te dis que je n'ai pas envie de te le dire?!

- Alors, je te répondrai qu'il n'y a aucuns soucis.

Hugo ne s'attendait pas à ce genre de réponse. Il était persuadé que Simon allait l'agresser de questions pour le savoir, alors qu'il n'était absolument pas prêt à se confier sur les histoires avec son frère. Simon déposa alors un baiser sur sa joue pour se relever et se diriger vers la cuisine:

- J'ai fais à manger. Je n'ai qu'à réchauffer, tu n'as qu'à aller te laver en attendant.

- Tu n'aurais pas du! Si tu crois que je me fais à manger quand je suis tout seul..

- Raison de plus pour l'avoir fait!

Hugo monta alors les escaliers pour se laver.. Il revint quelques minutes plus tard, voyant Simon en train de manger et d'écrire, un pied sur la chaise. C'était le même cahier sur lequel était tombé Hugo l'autre soir. Simon releva la tête et ferma subitement son journal d'une main, ne prenant même pas la peine de terminer sa phrase. Hugo s'approcha pour aller manger:

- Tu n'es pas obligé de cacher ce que tu écris dans ton journal tu sais! Je ne comptais pas le regarder.

- Comment sais-tu que c'est mon journal?

- Je l'ai vu le jour où je t'ai attendu dans ta chambre.

Simon regardait d'un coup Hugo paraissant plutôt en colère:

- Tu.. l'as vu?

- Non, je ne l'ai pas lu si c'est ce que tu veux savoir! C'est pas mes oignons.. Et change-moi directement ce regard, je n'ai rien regardé dedans!

- Ca va alors... dit Simon, en le poussant plus loin et y déposer son stylo-bille.

- Tu le tiens depuis longtemps?

- Quoi, mon journal? Depuis que j'ai 10 ans!

- Ca fait 13 ans que tu écris?? demanda alors Hugo, la bouche pleine et les yeux surpris.

- Ben..oui et alors!? dit Simon, semblant tout à coup gêné.

Hugo posa alors sa main sur celle de Simon:

- Je trouve ça très bien! C'est juste que je me demande combien de carnets du a maintenant.

- Ils sont dans une boite chez moi! Je les garde, et je pense que je ne voudrai jamais m'en séparer! Je suis pire qu'une femme..

- Ho non tu es bien mieux. dit-il en se levant pour l'embrasser.
Au fait, ce soir pour bien faire, je devrais.. sonner aux amis de ma maman et mon oncle, même s'il n'en a rien à faire mais bon! Donc, si tu veux rentrer, tu peux toujou..

- Je reste!

- T'aimes tant que ça rester ici? C'est pourtant pas la mélodie du bonheur en ce moment! J'ai du mal à comprendre...

- Cherche pas à comprendre, et mange!

Hugo commença alors à sonner aux gens en commençant d'abord par la meilleure amie de sa maman. Malheureusement, elle n'habitait pas très près, et n'était venue que rarement, face à un travail qui lui consacrait pratiquement tout son temps. Mais elle avait toujours dis à Hugo que s'il y avat le moindre problème, il pouvait compter sur elle. Alors la moindre des choses, était de l'appeler en premier lieu. Simon s'était couché sur les genoux de Hugo, qui était assis dans le fauteuil le téléphone en main. Il sentait les jambes de Hugo trembler légèrement, terrifié à l'idée de devoir apprendre la mauvaise nouvelle. C'est à ce moment-là qu'elle répondit, Simon entendant assez fort:

- Allô?

- Bonjour Béatrice, c'est.. C'est Hugo, le fils de Christine.

- Je sais qui tu es Hugo, ne t'inquiète pas.

- Je t'appelle pour..

Hugo regarda alors Simon, semblant ne pas y arriver. Mais prit son courage à deux mains, prit une profonde respiration et se lança:

- Je t'appelle pour te dire que maman nous a quitté cette après-midi. Elle a dit avant de mourir qu'elle tenait très fort à toi et.. qu'elle demanderait à ton mari où était ce fameux livre qu'il a planqué un jour et que tu n'as jamais retrouvé.

Hugo termina alors, les larmes aux yeux mais ne voulant pas craquer pour autant. Béatrice, elle, pleurait mais rigola tout de même:

- Elle a toujours été optimiste cette femme! Même le jour de sa mort.

 - Béatrice, je sais qu'il y a dix ans, ton mari est décédé également. Je..je voulais te demander si tu ne voulais pas m'aider pour l'enterrement de maman. Je ne sais pas du tout comment ça va et..

- Il n'y a aucun problème! Quand veux-tu que je vienne?

- Et bien, demain c'est dimanche, donc.. Lundi serait le mieux, il faut se dépêcher. Et puis, je veux faire ça au plus vite, je détesterai que tout le monde voit son corps comme une vieille bête de foire!

- Je comprends, je comprends. Ca ira si je suis chez toi pour 10h00? A moins que tu ne doives aller en cours!

Hugo se mit alors la main sur ses yeux, n'en pouvant plus de cette discussion:

- Non..non, je n'irai pas en cours cette semaine! Tant pis, je pense que pour le moment c'est secondaire.  Je suis désolé de te laisser là, mais..j'ai encore beaucoup de gens à appeler, et je voulais que tu sois la première prévenue.

- Je ne vais pas te dire mes condoléances, je sais tu as horreur de ça!

- Non..Non, ce mot me rendrait fou, on me l'a assez dis pour ma vie entière!

- Je te dis à lundi alors Hugo. Tu n'es pas seul au moins?

- Non, je ne suis pas seul... Je suis très bien accompagné ne t'inquiète pas pour ça! dit-il en regardant Simon, le regard et la voix adoucie.

- Alors, au revoir Hugo.

- Oui, c'est ça. Au revoir...

Il raccrocha alors en expirant un souffle tremblant. Mais ne voulant pas craquer, il composa directement le deuxième numéro et ainsi, appeler un nombre incalculable de personnes. Simon se releva alors, pour aller chercher quelque chose à boire, Hugo en train de faire le dernier numéro: son oncle! C'était une personne qu'il avait toujours détesté, le trouvant irrespectueux et idiot mais malheureusement, c'était le frère de sa mère et il se devait de l'appeler. Simon alla alors dans la cuisine pour ouvrir le frigo, quand il entendit Hugo commencer à s'énerver et crier:

- Quoi? Comment oses-tu même penser déjà à ce genre de choses? Tu..tu es la pire des personnes que je connaisse, tu dépasses même mon frère avant sa mort! Ne viens surtout pas à l'enterrement, sinon je te tuerai de mes propres mains espèce de salopard!

Simon avança alors dans la pièce, en voyant Hugo continuer à crier sur lui. Il prit alors le combiné du téléphone des mains de Hugo pour raccrocher, sentant que ce n'était pas du tout le moment pour qu'il s'énerve ainsi! Hugo partit alors furieux dans la salle à manger pour aller chercher quelques papiers dans une armoire quand Simon entendit du bruit. Hugo était tombé sur les genoux, les paumes de ses mains sur le sol, pleurant de toutes ses forces. Il frappa tout à coup son poing par terre, la rage au ventre pour crier:

- Salaud! Comment ose-t-il parler d'héritage alors qu'elle vient de mourir? Je le hais, je le hais!!!

Simon s'approcha de lui pour se mettre à genoux en face de lui et vouloir le prendre dans ses bras, mais Hugo poussa ses bras de lui, souffrant trop! Simon fut un peu blessé de ce rejet, et voulut se lever mais Hugo se jeta alors dans ses bras, et pleurer aussi fort que sa douleur l'était... La pression devait absolument être relachée après avoir annoncé à autant de gens la mort de sa mère.

Par lutraah - Publié dans : Un amour calculateur
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